The Twilight Zone
La Quatrième dimension
Nous sommes transportés dans une autre dimension, une dimension faite non seulement de paysages et de sons, mais surtout d'esprits. Un voyage dans une contrée sans fin dont les frontières sont notre imagination. Un voyage au bout des ténèbres où il n'y a qu'une destination : la Quatrième Dimension.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Fantastique, Science-Fiction, Fantasy, Horror, Suspense, Thriller | CBS, TF1 | 1955 |
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2.03 - L'homme et son double
Nervous Man in a Four Dollar Room
Un gangster minable est confronté à sa conscience qui lui apparaît dans un miroir.
Diffusion originale : 14 octobre 1960
Diffusion française :
14 octobre 1960
Réalisat.eur.rice.s :
Douglas Heyes
Scénariste.s :
Rod Serling
Guest.s :
Joe Mantell
,
William D. Gordon
Tous les avis
Avis neutre | Déposé le 17 janvier 2015 à 19:24 |
L'idée du double aurait pu donner quelque chose de sympa, mais le rythme de l'épisode se révèle finalement beaucoup trop lent et les monologues trop nombreux à mon goût. Résultat : Cela donne un épisode assez ennuyeux dans l'ensemble et qui a vraiment du mal à convaincre. Reste que le casting fonctionne et que la mise en scène est plutôt bonne. Un bon point pas négligeable du tout quand on pense à la difficulté de filmer une histoire reposant sur l'unité de lieu et se déroulant dans un lieu clos comme une chambre d'hôtel. |
Idée de base : un truand de petit augure se voit confier la mission de tuer un vieil homme. Sa subconscience vient lui parler à travers son reflet dans les miroirs.
L'épisode : le démarrage de l'épisode est poussif et l'épisode est trop long de 5 minutes minimum. Heureusement le talent de l'acteur principal qui arrive à bien différencier ses interprétations des deux John tire le tout vers le haut. De même, la mise en scène ne fait pas dans la facilité. En témoignent les scènes où John parle à son double. Il est clair qu’il s’agit de l’acteur face à un film de lui. Néanmoins, plutôt qu’un plan-plan tranquille champ/contre-champ, les deux interagissent et n’hésitent pas à changer de position lors d’un même plan. Un vrai tour de force qui a dû demander un sacré boulot de préparation. Ces deux choses (la performance bluffante de l’acteur et les effets spéciaux) tirent ma note vers le haut.
La chute : la tête haute et (c’est rare) pleine d’optimisme.